Marie-Madeleine
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Marie-Madeleine
Marie-Madeleine
le livre de l'Élue
Roman
Auteur: Kathleen McGowan
Comme par hasard, j'était en train de lire un livre de Sylvia Brown qui affirmait certaines hypothèses selon que Marie-Madeleine fut la femme de Jésus et qu'ils auraient eus des enfants. Depuis quelques années, ces suppositions me fascinent et de plus, dernièrement à la télévision, j'ai vue un reportage d'un Israélien qui se pencha sur ces affirmations en fesant ses propres recherches.
La thèse se veut quand même plausible, selon que la Bible fut souvent modifiée au gré de la religion afin de nous cacher certains faits. Marie-Madeleine fut une des disciples de Jésus avec sa mère Marie et probablement ses soeurs à Jésus selon les recherches de cet homme. Il voulait vérifier la teneur des informations selon lesquelles, Jésus avaient eu plusieurs frères et soeur et que Jean Baptiste fut son propre cousin.
Je suis en train de lire ce Roman fascinant sur la quête d'une historienne.
RÉSUMÉ:
Tout commence par la bague que lui glisse au doigt un bijoutier dans une rue poussiéreuse de Jérusalem. Depuis qu'elle la porte, Maureen, jeune historienne, se trouve en proie à des visions aussi réalistes qu'effrayantes qui la transportent au temps de la crucifixion. Car, à son insu, elle vient de plonger dans un mystère si secret, si révolutionnaire qu'il a coûté la vie à des milliers de personnes. Sur les traces d'un ancien texte incendiaire, Maureen met au jour non seulement la plus grande dissimulation de tous les temps, mais également un secret de famille vieux de plusieurs millénaires....
À lire pour les références de l'époque aussi, et à savourer comme un roman. Mais....quelles questions cela éveillera en vous ??
le livre de l'Élue
Roman
Auteur: Kathleen McGowan
Comme par hasard, j'était en train de lire un livre de Sylvia Brown qui affirmait certaines hypothèses selon que Marie-Madeleine fut la femme de Jésus et qu'ils auraient eus des enfants. Depuis quelques années, ces suppositions me fascinent et de plus, dernièrement à la télévision, j'ai vue un reportage d'un Israélien qui se pencha sur ces affirmations en fesant ses propres recherches.
La thèse se veut quand même plausible, selon que la Bible fut souvent modifiée au gré de la religion afin de nous cacher certains faits. Marie-Madeleine fut une des disciples de Jésus avec sa mère Marie et probablement ses soeurs à Jésus selon les recherches de cet homme. Il voulait vérifier la teneur des informations selon lesquelles, Jésus avaient eu plusieurs frères et soeur et que Jean Baptiste fut son propre cousin.
Je suis en train de lire ce Roman fascinant sur la quête d'une historienne.
RÉSUMÉ:
Tout commence par la bague que lui glisse au doigt un bijoutier dans une rue poussiéreuse de Jérusalem. Depuis qu'elle la porte, Maureen, jeune historienne, se trouve en proie à des visions aussi réalistes qu'effrayantes qui la transportent au temps de la crucifixion. Car, à son insu, elle vient de plonger dans un mystère si secret, si révolutionnaire qu'il a coûté la vie à des milliers de personnes. Sur les traces d'un ancien texte incendiaire, Maureen met au jour non seulement la plus grande dissimulation de tous les temps, mais également un secret de famille vieux de plusieurs millénaires....
À lire pour les références de l'époque aussi, et à savourer comme un roman. Mais....quelles questions cela éveillera en vous ??
Re: Marie-Madeleine
Bonjour !
Ah oui, bien bon sujet pour ceux que ça intéresse sans se perdre Divine. Hihi.
Merci de mettre ici Divine.
Oui les écrits de la dame Sylvia Brown me fait pensé au roman de Dan Brown, sur le même sujet.
Au final un roman, dans tout les cas.
Se sujet m'a intéressé depuis fort longtemps également, mais avant de balancer vers une idée ..
_____**
J'ai décidé de supprimé mon message, pour la simple raison qu'il est tout croche et que je prenne le temps de faire un texte compréhensible..
Je m'en excuse, mais ce n'est que partie remise.
De plus c'est le temps qui me manque, et que cela me dit.
Merci beaucoup.
@ Bientôt.
Ah oui, bien bon sujet pour ceux que ça intéresse sans se perdre Divine. Hihi.
Merci de mettre ici Divine.
Oui les écrits de la dame Sylvia Brown me fait pensé au roman de Dan Brown, sur le même sujet.
Au final un roman, dans tout les cas.
Se sujet m'a intéressé depuis fort longtemps également, mais avant de balancer vers une idée ..
_____**
J'ai décidé de supprimé mon message, pour la simple raison qu'il est tout croche et que je prenne le temps de faire un texte compréhensible..
Je m'en excuse, mais ce n'est que partie remise.
De plus c'est le temps qui me manque, et que cela me dit.
Merci beaucoup.
@ Bientôt.
Invité- Invité
Re: Marie-Madeleine
Bonjour,
Sans vouloir faire une thèse à ce sujet, j'ai recherché quelques faits importants reliant les causes, et un peu les pourquoi les écrits se basent pour nous faire comprendre certains messages, et aussi face à ce sujet biensur et de quelques acteurs importants de cette périodes.
L'en-tête de cet évangile dit:
«Voici les paroles secrètes que Jésus le Vivant a dites et que Didyme Jude Thomas a transcrites». Jude, donc Judas, s'appellerait également Thomas.
Il est à remarquer que Didyme signifie «jumeau» en grec, et que Thomas signifie également «jumeau» en araméen (toma).
L'Évangile de Thomas fut découvert en 1945 en Égypte, près de Nag Hammadi.
Il s'agit d'une copie datant du quatrième ou cinquième siècle, mais les originaux sont certes plus anciens. L'un des pères de l'Église chrétienne, Clément d'Alexandrie, atteste de son existence à la fin du deuxième siècle de notre ère.
Tout ce qu'on connait de l'évangile à venir maintenant part ou débute en l'Église d'Alexandrie, ou aussi la période que l'on nomme Alexandrie, la Bibliothèque d'Alexandrie..
On ne voit rien dans son texte dans le Nag Hammadi, traduite une partie à l'Université Laval vers les années '70 entre autre aussi et, mais on en retrouve ailleurs..
L'Évangile de Thomas traite principalement de deux personnages, soit Jacques le Juste et Thomas (Judas). Voilà des noms de deux des frères de Jésus. Thomas est en fait son frère jumeau. Et Thomas est la même personne que Judas.
Sur ce sujet, de même ils n'apprécièrent guère l'attention qu'il portait à une femme, Marie de Béthanie, Et en ont fait une putain dans leurs évangiles maudits. Les Écritures présentent d'ailleurs Thomas comme le disciple qui le ressemblait le plus. L'une des premières représentations iconographiques de Marie la présente avec deux bébés dans les bras.
On dit que dans l’Eglise syrienne, (Judas) Thomas était connu comme le frère de Jésus qui fonda les Eglises orientales..
Il est dommage que Thomas ait quelque peu contribué au mythe ayant entouré son nom, mais il est certain que son évangile, rejeté par l'Église, le dépeint plus que tout autre comme un homme à peu près normal.
Son frère a toujours été curieux et revendicateur. Il dérangeait, il était aussi et travaillait fréquemment avec les romains et aussi, des brigands à une certaine périodes.
Edgar Cayce mentionne à son sujet, Judas; éveillant le mépris de plusieurs personnes de proches et disciples, se rendit coupable d'assassinat, d'inceste, et autres crimes, avec sa propre famille, cela a frappé beaucoups d'entités.
Suite...
Sans vouloir faire une thèse à ce sujet, j'ai recherché quelques faits importants reliant les causes, et un peu les pourquoi les écrits se basent pour nous faire comprendre certains messages, et aussi face à ce sujet biensur et de quelques acteurs importants de cette périodes.
L'en-tête de cet évangile dit:
«Voici les paroles secrètes que Jésus le Vivant a dites et que Didyme Jude Thomas a transcrites». Jude, donc Judas, s'appellerait également Thomas.
Il est à remarquer que Didyme signifie «jumeau» en grec, et que Thomas signifie également «jumeau» en araméen (toma).
L'Évangile de Thomas fut découvert en 1945 en Égypte, près de Nag Hammadi.
Il s'agit d'une copie datant du quatrième ou cinquième siècle, mais les originaux sont certes plus anciens. L'un des pères de l'Église chrétienne, Clément d'Alexandrie, atteste de son existence à la fin du deuxième siècle de notre ère.
Tout ce qu'on connait de l'évangile à venir maintenant part ou débute en l'Église d'Alexandrie, ou aussi la période que l'on nomme Alexandrie, la Bibliothèque d'Alexandrie..
On ne voit rien dans son texte dans le Nag Hammadi, traduite une partie à l'Université Laval vers les années '70 entre autre aussi et, mais on en retrouve ailleurs..
L'Évangile de Thomas traite principalement de deux personnages, soit Jacques le Juste et Thomas (Judas). Voilà des noms de deux des frères de Jésus. Thomas est en fait son frère jumeau. Et Thomas est la même personne que Judas.
Sur ce sujet, de même ils n'apprécièrent guère l'attention qu'il portait à une femme, Marie de Béthanie, Et en ont fait une putain dans leurs évangiles maudits. Les Écritures présentent d'ailleurs Thomas comme le disciple qui le ressemblait le plus. L'une des premières représentations iconographiques de Marie la présente avec deux bébés dans les bras.
On dit que dans l’Eglise syrienne, (Judas) Thomas était connu comme le frère de Jésus qui fonda les Eglises orientales..
Il est dommage que Thomas ait quelque peu contribué au mythe ayant entouré son nom, mais il est certain que son évangile, rejeté par l'Église, le dépeint plus que tout autre comme un homme à peu près normal.
Son frère a toujours été curieux et revendicateur. Il dérangeait, il était aussi et travaillait fréquemment avec les romains et aussi, des brigands à une certaine périodes.
Edgar Cayce mentionne à son sujet, Judas; éveillant le mépris de plusieurs personnes de proches et disciples, se rendit coupable d'assassinat, d'inceste, et autres crimes, avec sa propre famille, cela a frappé beaucoups d'entités.
Suite...
Invité- Invité
Re: Marie-Madeleine
Pour comprendre les écrits il s'agissait de trouver à même les noms des personnes ayant contribué à l'écriture de cette bible, ou tout les récits par intérêt du sujet.
Comme je disais que la grande partie des écrits partent de cette Église d'Alexandrie.
___________
" Il y avait encore, de la race du Sauveur, les petits-fils de Jude, qui lui-même était appelé son frère selon la chair : on les dénonça comme étant de la race de David.
L'evocatus les amena devant Domitien César, car celui-ci craignait la venue du
Christ, comme Hérode. Et il leur demanda s'ils étaient de la race de David et ils
dirent que oui. Alors il leur demanda combien de propriétés ils avaient, de quelles
richesses ils étaient les maîtres. Ils dirent qu'à eux deux ils possédaient seulement
neuf mille deniers et que chacun d'eux en avait la moitié, et ils ajoutèrent qu'ils
n'avaient même pas cela en numéraire, mais que c'était l'évaluation d'une terre de trente-neuf plèthres sur lesquels ils payaient les impôts et qu'ils cultivaient eux-mêmes pour vivre. "
Puis ils montrèrent aussi leurs mains, comme preuve de leur travail personnel, ils
alléguèrent la rudesse de leur corps; ils présentèrent les durillons incrustés dans leurs propres mains par suite de leur labeur continuel.
Interrogés sur le Christ et sur son royaume, sur sa nature, le lieu et les temps de sa manifestation, ils donnèrent cette réponse que ce royaume n'était pas de ce monde, ni de cette terre, mais céleste et angélique, qu'il arriverait à la consommation des siècles, lorsque le Christ viendrait dans la gloire, jugerait les vivants et les morts et rendrait à chacun selon ses œuvres.
Domitien, là-dessus, ne les condamna à rien, mais il les dédaigna comme des
hommes simples, les renvoya libres et fit cesser par un édit la persécution contre
l'Église. Lorsqu'ils furent délivrés, ils dirigèrent les Églises, à la fois comme martyrs et comme parents du Seigneur, et, la paix rétablie, ils restèrent en vie jusqu'à Trajan.
Voilà ce que rapporte Hégésippe. Lui aussi, Tertullien fait de Domitien une
semblable mention :
Alors l'apôtre Jean put donc, lui aussi, reprendre sa vie à Ephèse au
sortir de l'exil dans l'île (de Patmos), d'après ce que rapporte la tradition de nos
anciens.
L'Église d'Alexandrie, À la mort de Domitien, qu'il fût en vie jusqu'à ces temps, il
suffit de confirmer la chose par deux témoins, et ils sont dignes de confiance car ils
ont la première place dans l'orthodoxie ecclésiastique, s'il y en a de tels : Irénée et Clément d'Alexandrie.
De ces hommes, le premier, au second livre Contre les Hérésies, écrit ainsi en propres termes :
" Et tous les presbytres qui se sont rencontrés en Asie avec Jean, le disciple du
Seigneur, témoignent que Jean a transmis (sa doctrine). Car il demeura parmi eux
jusqu'aux temps de Trajan. "
Et au troisième livre du même ouvrage, Irénée montre la même chose par ces mots :
" Mais l'Église d'Éphèse, fondée par Paul et où Jean demeura jusqu'aux temps de
Trajan, est aussi un témoin véritable de la tradition des apôtres. "
Quant à Clément, il indique également ce temps et il ajoute un récit très nécessaire à ceux qui aiment entendre des choses belles et profitables, dans son ouvrage intitulé :
Quel riche est sauvé Prenez cette histoire et lisez-la donc telle qu'il l'a écrite : "
Ecoute une fable, qui n'est pas une fable, mais une véritable histoire transmise (par la tradition) et gardée par le souvenir, au sujet de Jean l'apôtre :
Après que le tyran fut mort, Jean passa de l'île de Patmos à Ephèse; et il allait, sur
invitation, dans les pays voisins (habités par) des Gentils, tantôt pour y établir des
évêques, tantôt pour y organiser des Églises..
Arrivés à ce point, il nous semble raisonnable de récapituler (la liste) des écrits du
Nouveau Testament, dont nous avons parlé. Et, sans aucun doute, il faut placer tout d'abord la sainte tétrade des Evangiles, que suit le livre des Actes des Apôtres.
Après ce livre, il faut citer les Epîtres de Paul, à la suite desquelles on doit sanctionner la première attribuée à Jean et semblablement la première épître de Pierre. A la suite de ces ouvrages, on rangera, si cela paraît bon, l'Apocalypse de Jean au sujet de laquelle nous exposerons au moment opportun ce qu'on en pense.
Tels sont les livres reçus (universellement). Parmi les écrits contestés, mais reçus
pourtant par le plus grand nombre, il y a l'épître attribuée à Jacques, celle de Jude, la deuxième épître de Pierre et les lettres dites deuxième et troisième de Jean, qu'elles soient de l'évangéliste ou d'un autre qui portait le même nom.
Parmi les apocryphes, qu'on range le livre des Actes de Paul, l'ouvrage intitulé Le
Pasteur, l'Apocalypse de Pierre, et de plus l'Epître attribuée à Barnabé, l'écrit appelé :
Les enseignements des apôtres, puis, comme je l'ai dit, l'Apocalypse de Jean, si cela semble bon : quelques-uns, comme je l'ai dit, la rejettent; mais d'autres la joignent aux livres reçus. Parmi ces mêmes livres, quelques-uns ont encore placé l'Evangile selon les Hébreux, qui plaît surtout à ceux des Hébreux qui ont reçu le Christ.
Tous ces livres sont au nombre des écrits contestés.
Nous avons trouvé nécessaire de faire également la liste de ces derniers (ouvrages) en séparant les Ecritures qui, selon la tradition ecclésiastique, sont vraies, authentiques et reconnues, d'avec les livres qui, à leur différence, ne sont pas testamentaires, mais contestés bien que connus par la plupart des (écrivains) ecclésiastiques.
Ainsi, nous pourrons connaître ces livres mêmes et ceux qui, chez les hérétiques, sont présentés sous le nom des apôtres, qu'il s'agisse des Evangiles de Pierre, de Thomas, de Matthias et d'autres encore, ou des Actes d'André, de Jean et des autres apôtres : absolument jamais personne parmi les orthodoxes qui se sont succédé, n'a trouvé bon de rappeler leur souvenir dans un de ses ouvrages.
D'ailleurs, le caractère de l'élocution s'écarte de la manière apostolique; la pensée et la doctrine qu'ils renferment sont autant que possible en désaccord avec la véritable orthodoxie; ce qui prouve clairement que ces livres sont des fabrications d'hérétiques.
Par suite, il ne faut même pas les placer parmi les apocryphes, mais il faut les rejeter comme tout à fait absurdes et impies.
Après Néron et Domitien, sous celui dont nous examinons maintenant les temps, une persécution fut soulevée contre nous, à ce que rapporte la tradition, partiellement et dans certaines villes, à la suite d'un soulèvement des populations.
Durant cette persécution, Siméon, fils de Clopas que nous avons signalé comme ayant été
constitué le deuxième évêque de l'Église de Jérusalem , consomma sa vie par le
martyre, à ce que nous avons appris. Et de ce fait témoigne celui-là même à qui nous avons déjà emprunté différents passages, Hégésippe.
Parlant de certains hérétiques, il ajoute qu'en ce temps-là Siméon (qui est Jude Thomas Judas ) subit une accusation de leur part.
Parce qu'il était chrétien, il fut tourmenté de diverses manières pendant plusieurs jours et après avoir étonné profondément le juge et ceux qui l'entouraient, il eut une fin semblable à la passion du Seigneur.
Rien d'ailleurs n'est tel que d'entendre l'historien qui raconte les
événements en ces propres termes :
" Certains de ces hérétiques assurément accusèrent Siméon, fils de Clopas, comme étant de la race de David et chrétien : ce fut ainsi qu'il rendit témoignage, âgé de cent vingt ans sous (le règne de) Trajan César et le consulaire Atticus. "
Le même (écrivain) dit encore qu'il arriva à ses accusateurs, alors qu'on recherchait ceux de la race royale des Juifs, d'être appréhendés comme étant de cette race.
On peut dire, en vertu d'un raisonnement, que Siméon a été de ceux qui ont vu et entendu le Seigneur, à preuve la longueur de la durée de sa vie et la mention que fait le livre des Évangiles, de Marie, femme de Clopas , dont il fut le fils comme nous l'avons montré plus haut. Le même historien dit aussi que d'autres descendants d'un de ceux qu'on appelait les frères du Sauveur et qui se nommait Jude, ont vécu jusqu'au même
règne de Trajan, après avoir rendu témoignage, sous Domitien, de la foi au Christ,
comme nous l'avons déjà raconté . Voici ce qu'il écrit :
" Ils vont donc et conduisent toute Église, en tant que martyrs et parents du Seigneur.
Une paix profonde régnant dans toute Église, ils demeurent jusqu'à Trajan César. A ce moment, le fils de l'oncle du Seigneur, Siméon, fils de Clopas, dont nous avons parlé plus haut , fut dénoncé par les hérétiques et fut jugé lui aussi comme eux, pour le même motif, sous le consulaire Atticus. Et il fut torturé durant plusieurs jours;
il rendit témoignage de manière à étonner tout le monde et le consulaire lui-même (qui se demandait) comment un homme de cent vingt ans supportait ces tourments. Il fut condamné à être crucifié. "
Après cela, le même Hégésippe, en racontant les événements des temps dont nous parlons, ajoute que, jusqu'à cette époque, l'Église demeura une vierge pure et sans corruption : c'était dans une ombre ténébreuse, comme dans une tanière, que jusqu'alors des hommes, si même il y en avait de tels, s'efforçaient de corrompre la règle saine de la prédication du Sauveur. Mais lorsque le choeur sacré des apôtres eut reçu de manières différentes la fin de sa vie, et qu'eut disparu la génération de ceux qui avaient été jugés dignes d'entendre de leurs oreilles la sagesse divine, alors l'erreur athée commença à apparaître par la tromperie des maîtres de mensonges.
Ceux-ci, puisqu'il ne restait plus aucun des apôtres, s'efforcèrent, d'opposer alors à
visage découvert la gnose au nom trompeur à la prédication de la vérité.
XXXIII
COMMENT TRAJAN EMPÊCHA DE RECHERCHER LES CHRÉTIENS
Cependant, en beaucoup d'endroits, la persécution (dirigée) contre nous s'accrut de telle manière que Pline le Jeune, très illustre parmi les gouverneurs, ému par la
multitude des martyrs, écrivit à l'empereur au sujet de la multitude de ceux qui
étaient mis à mort pour la foi. En même temps, il l'informa qu'il n'avait pas trouvé
qu'ils fissent rien d'impie ou de contraire aux lois. Seulement, ils se levaient avec
l'aurore pour chanter des hymnes au Christ comme à un Dieu; ils rejetaient l'adultère et le meurtre et les crimes odieux du même genre, et ils faisaient tout conformément aux lois.
Là-dessus, Trajan porta un décret (disant) de ne pas rechercher la tribu des chrétiens, mais de la châtier quand on la trouvait. Ainsi s'éteignit la menace de la persécution, qui était arrivée au plus haut degré. Il n'en restait pas moins des prétextes à ceux qui voulaient nous faire du mal.
Parfois c'étaient les populations, parfois c'étaient aussi
les fonctionnaires locaux qui préparaient des embûches contre nous, de sorte que,
sans qu'il y eût de persécutions ouvertes, des persécutions partielles se rallumèrent dans les provinces et un grand nombre de fidèles eurent à combattre dans des martyres variés.
Ce récit est emprunté à l'Apologie latine de Tertullien, dont nous
avons parlé plus haut . La traduction en est la suivante :
" Cependant, nous avons trouvé qu'il a été défendu de nous rechercher. En effet,
Pline le Jeune, gouverneur d'une province, après avoir condamné quelques chrétiens et leur avoir enlevé leurs dignités, fut troublé par la multitude (des fidèles) et ne sut plus ce qui lui restait à faire. Il écrivit à l'empereur Trajan en disant qu'en dehors de leur refus d'adorer les idoles, il n'avait rien trouve de criminel en eux.
Il ajoutait encore ceci, que les chrétiens se levaient dès l'aurore et chantaient des hymnes au Christ comme à un Dieu et que, pour observer leur enseignement , il leur était défendu de tuer, de commettre l'adultère, d'être injuste, de voler et autres choses semblables.
A cela, Trajan répondit de ne pas rechercher la tribu des chrétiens, mais
de la punir si on la rencontrait 5. "Et voilà ce qui se passait en ce temps-là.
_____
Qui se demande maintenant qui est le frère de Jésus, et des fils du frère et venant du sang familial de Jésus et d'une certaine communauté de descendance ?
Ce n'est qu'un bref appercu et la suite vient..
Ca vient de l'église elle même ces textes cela ne date pas d'hier ces mentions.
Comme je disais que la grande partie des écrits partent de cette Église d'Alexandrie.
___________
" Il y avait encore, de la race du Sauveur, les petits-fils de Jude, qui lui-même était appelé son frère selon la chair : on les dénonça comme étant de la race de David.
L'evocatus les amena devant Domitien César, car celui-ci craignait la venue du
Christ, comme Hérode. Et il leur demanda s'ils étaient de la race de David et ils
dirent que oui. Alors il leur demanda combien de propriétés ils avaient, de quelles
richesses ils étaient les maîtres. Ils dirent qu'à eux deux ils possédaient seulement
neuf mille deniers et que chacun d'eux en avait la moitié, et ils ajoutèrent qu'ils
n'avaient même pas cela en numéraire, mais que c'était l'évaluation d'une terre de trente-neuf plèthres sur lesquels ils payaient les impôts et qu'ils cultivaient eux-mêmes pour vivre. "
Puis ils montrèrent aussi leurs mains, comme preuve de leur travail personnel, ils
alléguèrent la rudesse de leur corps; ils présentèrent les durillons incrustés dans leurs propres mains par suite de leur labeur continuel.
Interrogés sur le Christ et sur son royaume, sur sa nature, le lieu et les temps de sa manifestation, ils donnèrent cette réponse que ce royaume n'était pas de ce monde, ni de cette terre, mais céleste et angélique, qu'il arriverait à la consommation des siècles, lorsque le Christ viendrait dans la gloire, jugerait les vivants et les morts et rendrait à chacun selon ses œuvres.
Domitien, là-dessus, ne les condamna à rien, mais il les dédaigna comme des
hommes simples, les renvoya libres et fit cesser par un édit la persécution contre
l'Église. Lorsqu'ils furent délivrés, ils dirigèrent les Églises, à la fois comme martyrs et comme parents du Seigneur, et, la paix rétablie, ils restèrent en vie jusqu'à Trajan.
Voilà ce que rapporte Hégésippe. Lui aussi, Tertullien fait de Domitien une
semblable mention :
Alors l'apôtre Jean put donc, lui aussi, reprendre sa vie à Ephèse au
sortir de l'exil dans l'île (de Patmos), d'après ce que rapporte la tradition de nos
anciens.
L'Église d'Alexandrie, À la mort de Domitien, qu'il fût en vie jusqu'à ces temps, il
suffit de confirmer la chose par deux témoins, et ils sont dignes de confiance car ils
ont la première place dans l'orthodoxie ecclésiastique, s'il y en a de tels : Irénée et Clément d'Alexandrie.
De ces hommes, le premier, au second livre Contre les Hérésies, écrit ainsi en propres termes :
" Et tous les presbytres qui se sont rencontrés en Asie avec Jean, le disciple du
Seigneur, témoignent que Jean a transmis (sa doctrine). Car il demeura parmi eux
jusqu'aux temps de Trajan. "
Et au troisième livre du même ouvrage, Irénée montre la même chose par ces mots :
" Mais l'Église d'Éphèse, fondée par Paul et où Jean demeura jusqu'aux temps de
Trajan, est aussi un témoin véritable de la tradition des apôtres. "
Quant à Clément, il indique également ce temps et il ajoute un récit très nécessaire à ceux qui aiment entendre des choses belles et profitables, dans son ouvrage intitulé :
Quel riche est sauvé Prenez cette histoire et lisez-la donc telle qu'il l'a écrite : "
Ecoute une fable, qui n'est pas une fable, mais une véritable histoire transmise (par la tradition) et gardée par le souvenir, au sujet de Jean l'apôtre :
Après que le tyran fut mort, Jean passa de l'île de Patmos à Ephèse; et il allait, sur
invitation, dans les pays voisins (habités par) des Gentils, tantôt pour y établir des
évêques, tantôt pour y organiser des Églises..
Arrivés à ce point, il nous semble raisonnable de récapituler (la liste) des écrits du
Nouveau Testament, dont nous avons parlé. Et, sans aucun doute, il faut placer tout d'abord la sainte tétrade des Evangiles, que suit le livre des Actes des Apôtres.
Après ce livre, il faut citer les Epîtres de Paul, à la suite desquelles on doit sanctionner la première attribuée à Jean et semblablement la première épître de Pierre. A la suite de ces ouvrages, on rangera, si cela paraît bon, l'Apocalypse de Jean au sujet de laquelle nous exposerons au moment opportun ce qu'on en pense.
Tels sont les livres reçus (universellement). Parmi les écrits contestés, mais reçus
pourtant par le plus grand nombre, il y a l'épître attribuée à Jacques, celle de Jude, la deuxième épître de Pierre et les lettres dites deuxième et troisième de Jean, qu'elles soient de l'évangéliste ou d'un autre qui portait le même nom.
Parmi les apocryphes, qu'on range le livre des Actes de Paul, l'ouvrage intitulé Le
Pasteur, l'Apocalypse de Pierre, et de plus l'Epître attribuée à Barnabé, l'écrit appelé :
Les enseignements des apôtres, puis, comme je l'ai dit, l'Apocalypse de Jean, si cela semble bon : quelques-uns, comme je l'ai dit, la rejettent; mais d'autres la joignent aux livres reçus. Parmi ces mêmes livres, quelques-uns ont encore placé l'Evangile selon les Hébreux, qui plaît surtout à ceux des Hébreux qui ont reçu le Christ.
Tous ces livres sont au nombre des écrits contestés.
Nous avons trouvé nécessaire de faire également la liste de ces derniers (ouvrages) en séparant les Ecritures qui, selon la tradition ecclésiastique, sont vraies, authentiques et reconnues, d'avec les livres qui, à leur différence, ne sont pas testamentaires, mais contestés bien que connus par la plupart des (écrivains) ecclésiastiques.
Ainsi, nous pourrons connaître ces livres mêmes et ceux qui, chez les hérétiques, sont présentés sous le nom des apôtres, qu'il s'agisse des Evangiles de Pierre, de Thomas, de Matthias et d'autres encore, ou des Actes d'André, de Jean et des autres apôtres : absolument jamais personne parmi les orthodoxes qui se sont succédé, n'a trouvé bon de rappeler leur souvenir dans un de ses ouvrages.
D'ailleurs, le caractère de l'élocution s'écarte de la manière apostolique; la pensée et la doctrine qu'ils renferment sont autant que possible en désaccord avec la véritable orthodoxie; ce qui prouve clairement que ces livres sont des fabrications d'hérétiques.
Par suite, il ne faut même pas les placer parmi les apocryphes, mais il faut les rejeter comme tout à fait absurdes et impies.
Après Néron et Domitien, sous celui dont nous examinons maintenant les temps, une persécution fut soulevée contre nous, à ce que rapporte la tradition, partiellement et dans certaines villes, à la suite d'un soulèvement des populations.
Durant cette persécution, Siméon, fils de Clopas que nous avons signalé comme ayant été
constitué le deuxième évêque de l'Église de Jérusalem , consomma sa vie par le
martyre, à ce que nous avons appris. Et de ce fait témoigne celui-là même à qui nous avons déjà emprunté différents passages, Hégésippe.
Parlant de certains hérétiques, il ajoute qu'en ce temps-là Siméon (qui est Jude Thomas Judas ) subit une accusation de leur part.
Parce qu'il était chrétien, il fut tourmenté de diverses manières pendant plusieurs jours et après avoir étonné profondément le juge et ceux qui l'entouraient, il eut une fin semblable à la passion du Seigneur.
Rien d'ailleurs n'est tel que d'entendre l'historien qui raconte les
événements en ces propres termes :
" Certains de ces hérétiques assurément accusèrent Siméon, fils de Clopas, comme étant de la race de David et chrétien : ce fut ainsi qu'il rendit témoignage, âgé de cent vingt ans sous (le règne de) Trajan César et le consulaire Atticus. "
Le même (écrivain) dit encore qu'il arriva à ses accusateurs, alors qu'on recherchait ceux de la race royale des Juifs, d'être appréhendés comme étant de cette race.
On peut dire, en vertu d'un raisonnement, que Siméon a été de ceux qui ont vu et entendu le Seigneur, à preuve la longueur de la durée de sa vie et la mention que fait le livre des Évangiles, de Marie, femme de Clopas , dont il fut le fils comme nous l'avons montré plus haut. Le même historien dit aussi que d'autres descendants d'un de ceux qu'on appelait les frères du Sauveur et qui se nommait Jude, ont vécu jusqu'au même
règne de Trajan, après avoir rendu témoignage, sous Domitien, de la foi au Christ,
comme nous l'avons déjà raconté . Voici ce qu'il écrit :
" Ils vont donc et conduisent toute Église, en tant que martyrs et parents du Seigneur.
Une paix profonde régnant dans toute Église, ils demeurent jusqu'à Trajan César. A ce moment, le fils de l'oncle du Seigneur, Siméon, fils de Clopas, dont nous avons parlé plus haut , fut dénoncé par les hérétiques et fut jugé lui aussi comme eux, pour le même motif, sous le consulaire Atticus. Et il fut torturé durant plusieurs jours;
il rendit témoignage de manière à étonner tout le monde et le consulaire lui-même (qui se demandait) comment un homme de cent vingt ans supportait ces tourments. Il fut condamné à être crucifié. "
Après cela, le même Hégésippe, en racontant les événements des temps dont nous parlons, ajoute que, jusqu'à cette époque, l'Église demeura une vierge pure et sans corruption : c'était dans une ombre ténébreuse, comme dans une tanière, que jusqu'alors des hommes, si même il y en avait de tels, s'efforçaient de corrompre la règle saine de la prédication du Sauveur. Mais lorsque le choeur sacré des apôtres eut reçu de manières différentes la fin de sa vie, et qu'eut disparu la génération de ceux qui avaient été jugés dignes d'entendre de leurs oreilles la sagesse divine, alors l'erreur athée commença à apparaître par la tromperie des maîtres de mensonges.
Ceux-ci, puisqu'il ne restait plus aucun des apôtres, s'efforcèrent, d'opposer alors à
visage découvert la gnose au nom trompeur à la prédication de la vérité.
XXXIII
COMMENT TRAJAN EMPÊCHA DE RECHERCHER LES CHRÉTIENS
Cependant, en beaucoup d'endroits, la persécution (dirigée) contre nous s'accrut de telle manière que Pline le Jeune, très illustre parmi les gouverneurs, ému par la
multitude des martyrs, écrivit à l'empereur au sujet de la multitude de ceux qui
étaient mis à mort pour la foi. En même temps, il l'informa qu'il n'avait pas trouvé
qu'ils fissent rien d'impie ou de contraire aux lois. Seulement, ils se levaient avec
l'aurore pour chanter des hymnes au Christ comme à un Dieu; ils rejetaient l'adultère et le meurtre et les crimes odieux du même genre, et ils faisaient tout conformément aux lois.
Là-dessus, Trajan porta un décret (disant) de ne pas rechercher la tribu des chrétiens, mais de la châtier quand on la trouvait. Ainsi s'éteignit la menace de la persécution, qui était arrivée au plus haut degré. Il n'en restait pas moins des prétextes à ceux qui voulaient nous faire du mal.
Parfois c'étaient les populations, parfois c'étaient aussi
les fonctionnaires locaux qui préparaient des embûches contre nous, de sorte que,
sans qu'il y eût de persécutions ouvertes, des persécutions partielles se rallumèrent dans les provinces et un grand nombre de fidèles eurent à combattre dans des martyres variés.
Ce récit est emprunté à l'Apologie latine de Tertullien, dont nous
avons parlé plus haut . La traduction en est la suivante :
" Cependant, nous avons trouvé qu'il a été défendu de nous rechercher. En effet,
Pline le Jeune, gouverneur d'une province, après avoir condamné quelques chrétiens et leur avoir enlevé leurs dignités, fut troublé par la multitude (des fidèles) et ne sut plus ce qui lui restait à faire. Il écrivit à l'empereur Trajan en disant qu'en dehors de leur refus d'adorer les idoles, il n'avait rien trouve de criminel en eux.
Il ajoutait encore ceci, que les chrétiens se levaient dès l'aurore et chantaient des hymnes au Christ comme à un Dieu et que, pour observer leur enseignement , il leur était défendu de tuer, de commettre l'adultère, d'être injuste, de voler et autres choses semblables.
A cela, Trajan répondit de ne pas rechercher la tribu des chrétiens, mais
de la punir si on la rencontrait 5. "Et voilà ce qui se passait en ce temps-là.
_____
Qui se demande maintenant qui est le frère de Jésus, et des fils du frère et venant du sang familial de Jésus et d'une certaine communauté de descendance ?
Ce n'est qu'un bref appercu et la suite vient..
Ca vient de l'église elle même ces textes cela ne date pas d'hier ces mentions.
Invité- Invité
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